Sunday, 18 October 2015

#44 La greffe xénogénique (Français)

La greffe xénogénique


La greffe xénogénique est la transplantation des cellules vivantes  et des tissus prélevés chez l'animal pour remplacer les organes des humains. Comme 3'500 greffes sont accomplies chaque année en France, cette technique médicale est prometteuse. Bien qu'il y ait des effets secondaires, elle semble être une solution pour contrer un avenir incertain.

D'un côté, dans la situation actuelle où il y a une miniaturisation du commerce du corps humain mais une augmentation des patients, la greffe xénogénique est une solution. Quant à la stabilité, la similitude anatomique  de ces organes des animaux avec les hommes permet la concordance. Quoi qu'aux balbutiement, le succès de la greffe xénogénique permet le traitement du diabète ou des maladies neurodégénératives, telles que la maladie de Parkinson. Il persiste des inquiétudes sur le phénomène du rejet. Néanmoins, ce phénomène est un fait naturel qui survient également après la transplantation interhumaine. Selon une théorie, un organe d'origine animale est tout aussi compatible, donc la greffe xénogénique obtient plus de soutien.

D'un autre côté, il est impossible de nier l'effet secondaire qui est la transmission des maladies. En fait, plusieurs infections fâcheuses des hommes sont d'origine animale. Ce problème prend de l'ampleur dans des pays où une surveillance appropriée de cette opération est inexistante. Selon une expérience réelle par un américain qui avait reçu un foie de babouin, il souffrait d'une hépatite B après l'opération. Dans des cas extrêmes, le rejet provoque la destruction du système immunitaire. De plus, dans une perspective éthique, la greffe xénogénique peut angoisser psychologiquement le patient.

En conclusion, la transplantation de l'animal à l'homme, la greffe xénogénique, pourrait être le remède pour le manque d'organes pour les humains. En revanche, cette pratique est encore au début et elle a besoin de modifications pour réussir l'implantation.

Reference:
www.oms.org
L'Humanité (21/11/2006)

KSJ

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