Les
neurones jouent un rôle majeur en détectant le niveau de lumière ambiante
[Science Daily: How do we sense moonlight? Daylight? There’s
a cell for that]
Les
neuroscientifiques expliquent qu’il existe une manière inespérée détectant la
dégrée de l’illumination à l’ambiance. En fait, les neurones dans la rétine de
l’œil partager le rôle de la détection. En d’autres termes, les neurones
particulières sont mises à une intensité de la lumière spécifique.
Puisque la Terre est en rotation, le niveau d’éclairement change : de
la lumière stellaire à la pleine lumière. Cet information nous rappelle
immédiatement le mécanisme du système sensoriel qui lui permet de couvrir une
telle gamme. Cette question pourrait sembler assez simple, mais dans la
réalité, le mécanisme est plus complexe.
Les récepteurs de la rétine, appelés bâtonnets et cônes, absorbent la
lumière, en détectant le mouvement et la forme. De surcroît, il existe des
neurones qui sont la cellule photosensible. Donc ces neurones fonctionnent
comme une horloge biologique, en contrôlant le sommeil et les niveaux des
hormones. Les aveugles étonnamment ont ces neurones qui fonctionnent bien.
Un de ces neurones s’appelle M1 cellule. La recherche à propos de M1
cellule nous permet une bonne compréhension des signalisations qui deviennent
des yeux et destinent au cerveau. Avant des expérimentes, les chercheurs prédisent
que la signalisation des cellules devient plus forte avec la croissance de l’intensité
de la lumière. Or, l’expérimente démontre un fait différent : ce n’est pas
la puissance de la signalisation qui change, c’est plutôt le type de cellules
qui est altéré.
Comme l’intensité de la lumière augmente, la protéine - mélanopsine - dans
les cellules M1 capturent de plus en plus de lumière. Ce phénomène cause le
voltage à travers la membrane cellulaire devient plus positive qu’avant, et
conséquemment, la cellule se dépolarise et gêne plus de pointes électriques qui
sont envoyés au cerveau. Si l’intensité est trop fort, les cellules sont en
silence. Les chercheurs pensent que ce mécanisme est vraiment efficace dans
plusieurs façons : il économise énergie et pourrait distinguer plus
précisément les niveaux de la lumière. En fait, le mécanisme de la détection de
l’intensité de la lumière est plus complexe qu’on prédit.