Névralgie du trijumeau
Récemment, j’ai
lu un livre de Henry Marsh intitulé Do No Harm. C’est là que j’ai réalisé la gravité de la névralgie du trijumeau et le fait qu’elle engendre les symptômes extrêmement
douloureux. J’ai donc eu envie de faire une recherche et m’enseigne davantage sur
cette maladie.
Avant de vous
présenter la névralgie du trijumeau, j’expliquerais quelques notions de base que
vous devez d’avoir en tête et de comprendre. Le cerveau et le corps sont
connectés par la moelle épinière avec les nerfs spinaux qui envoient et reçoivent
les impulsions entre le cerveau et toutes les parties du corps. Les douze
paires de nerfs crâniens partent de la base du cerveau pour connecter
directement au corps. Ces nerfs contrôlent nombres fonctions – musculaires et
sensorielles – de la tête et du cou.
La névralgie du
trijumeau est une inflammation ou une compression du nerf trijumeau (le nerf
crânien V) qui est le principal nerf sensitif du visage. Le nerf trijumeau est
divisé en trois rameaux : le V1 (nerf ophtalmique), le V2 (nerf maxillaire),
et le V3 (nerf mandibulaire). Bien qu’il n’y ait pas de cause identifiable et
claire, le neurochirurgien utilise une IRM pour se faire le diagnostic d’une
névralgie du trijumeau. En ce cas, il essaie de trouver une tumeur qui jouerait le rôle d’agresseur et comprimerait
le nerf trijumeau ou une sclérose en plaques chez artère cérébelleuse
supérieure surtout. En dépit des efforts, il est difficile de prévenir une
névralgie du trijumeau.
Le symptôme de la
névralgie du trijumeau est la douleur qui est semblable à des décharges électriques
qui touchent un côté du visage. Cette maladie provoque la contraction des
muscles faciaux liée à la douleur qui est semblable à un tic et pour ce phénomène,
la névralgie faciale est appelée comme « tic douloureux ».
Il existe les deux
types des traitements médicaux de la névralgie du trijumeau : les médicaments
et la chirurgie. Pour soulager efficacement la névralgie du trijumeau, les
médecins rédigent les anticonvulsivants pour réduire la fréquence et l’intensité
des crises douloureuses comme ils pourraient stabiliser la membrane des
cellules nerveuses ; les antispasmodiques qui font le même effet
des anticonvulsivants ; et les antidépresseurs en complément. De
surcroît, on dispose généralement de trois techniques : le gamma-knife qui
provoque la destruction partielle des fibres nerveuses ; les techniques percutanées ; et la décompression microvasculaire (le
type de la chirurgie que Dr Marsh a pratiqué).
^Vidéo chirurgicale
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