L’Homme dort et la méduse dort aussi !
[Science Daily :
Jellyfish, with no brains, still seem to sleep]
Le genre
Cassiopea est un genre de méduses de la famille des Cassiopeidae. En dépit du
fait qu’il n’a aucun cerveau ni colonne vertébrale, il pourrait dormir comme
les humains. Cette découverte nous suggère que le sommeil est un comportement ancien
qui a survécu à l’évolution des millénaires.
Il n’est pas
vraiment surprenant que les méduses dorment. Les mammifères, les invertébrés, et
peut-être les plantes dorment. Cependant, les méduses sont
exceptionnellement les plus anciennes évolutivement qui pourraient dormir. Nous
sommes confrontés aux questions, par exemple, est-sommeil la propriété des
neurones ? Pour répondre cette question, on a besoin de comprendre la
condition du « dormant » : un organisme doit répondre aux trois
critères. Premièrement, il doit démontrer une période d’activité réduite.
Deuxièmement, il doit exposer une réponse réduite contre les stimuli pendant
son état de repos. Troisièmement, un organisme doit démontrer les troubles du
sommeil à cause du déficit de sommeil. Les humains et les méduses semblent être
très différents, mais ils exposent un état de sommeil qui est semblable.
Ainsi, en suivant ces différents barèmes, on va vérifier l’hypothèse qui explique que les méduses dorment. Tout d’abord, on va démontrer la quiescence. Les
chercheurs ont trouvé que les méduses expérimentent les périodes d’inactivité à
la nuit, en pulsant 39 fois par minute (les méduses normalement pulsent 58 fois
par minute pendant la journée). De surcroît, les chercheurs ont justifié que
les méduses démontrent une période de réaction retardée pendant leur dormance.
Ils ont pris quelques secondes pour réveiller et réorienter eux-mêmes.
Finalement, les chercheurs ont perturbé les méduses pendant leur période d’inactivité
et examiné une période où ils expérimentent un état de repos pendant la journée
(avec l’information quant au changement de la pulsation).
Ce
recherche nous explique que les méduses dorment. Cependant, le mécanisme
génétique demeure inconnu. La plupart des animaux ont le même gène qui gouverne
le sommeil. Or, les chercheurs ont expérimenté les effets des composés qui
provoquent le sommeil comme la mélatonine. En fait, elle a un effet aux méduses :
la promotion de l’état de repos. Je ne crois que cette découverte pourrait
complètement justifier l’hypothèse que les méduses dorment comme l’homo
sapiens. Néanmoins elle nous démontre un fait qu’elles, du moins, expérimentent
une période d’inactivité.
https://www.sciencedaily.com/releases/2017/09/170921141252.htm
https://www.sciencedaily.com/releases/2017/09/170921141252.htm
KSJ
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