Les Neuroligines-3
[Science Daily: Brain cancer growth halted by absence of
protein]
Selon une étude, la
croissance de la tumeur cérébrale pourrait être arrêtée en suspendant son accès
aux molécules de signalisation qui sont produites par les cellules nerveuses
chez le cerveau.
Les chercheurs
trouvent que l’absence de la molécule de signalisation – les neuroligines-3 (NLGN3)
– ou l’interruption du signal par les médicaments provoque la propagation de
gliomes hautement agressifs dans le cerveau murin (souris). En fait, une
expérience démontre que les tumeurs cérébrales ne développent pas plus quand
les cellules de gliome sont injectées dans le cerveau de murin qui souffre d’un
déficit en NLGN3. Par conséquent, les chercheurs anticipent que l’interruption
du signal de NLGN3 pourrait être une stratégie vraiment efficace pour contrôler
le gliome dans les patients humains.
Les gliomes
hautement agressifs inclussent les tumeurs cérébrales qui sont évidemment mortelles.
En dépit de taux élevé de mortalité, il n’existe pas encore un médicament
prometteur. C’est pourquoi ces chercheurs entendent être très attentifs à cette
recherche, en anticipant une découverte phénoménale.
Avant cette
recherche, les chercheurs voient NLGN3 comme une molécule qui déclenche et accélère
la croissance de la tumeur cérébrale. Actuellement, les chercheurs doivent
faire face au fait que cette protéine qui est responsable d’assurer un organe
sain. C’est définitivement ironique que le mécanisme pour maintenir une bonne
santé dirige la prolifération du cancer. Alors, c’est si simple, la pénurie de
NLGN3 ne tue aucunes cellules cancéreuses mais plutôt elle empêche leur nouvelle
hausse. Malheureusement, après environ de quatre mois, les tumeurs dans
quelques cerveaux ont contourné leur dépendance à NLGN3 et commencé à se
développer. D’après les chercheurs, le déficit de NLGN3 a un effet
spécifiquement aux gliomes hautement agressifs.
Les chercheurs ont
démontré que le NLGN3 déclenche les voies de signalisation impliquées dans de
nombreux cancers et aussi augmente l’expression de gènes impliqués dans la
prolifération cellulaire. Avec un grand sens du rôle potentiel de NLGN3 comme
la thérapie pour les gliomes, les chercheurs ont expérimenté si les deux
inhibiteurs de la sécrétion du NLGN3 pourraient entraver la croissance du
cancer. L’un n’a jamais été disposé aux humains, et l’autre est utilisé comme
la chimiothérapie pour un cancer autre que le cerveau. On souhaite que les deux
pourrait être utilisés comme la stratégie pour empêcher la croissance des
gliomes. C’est clair que le NLGN3 prévient la croissance du cancer ; de ce fait, il
doit être combiné avec des autres traitements stratégiques pour lutter contre
les tumeurs.
KSJ
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