Saturday 16 September 2017

#165 L’Autophagie : le rôle important au sein de notre système immunitaire (Français)

L’Autophagie : le rôle important au sein de notre système immunitaire


Que se passerait-il si on pourrait être toujours jeunes ? En 2016, le Japonais Yoshinori Ohsumi a reçu le prix Nobel de médecine pour sa découverte du mécanisme de l’autophagie. L’autophagie joue le rôle phénoménal : elle pourrait nettoyer et faire de recyclage dans la cellule. Malheureusement, ce processus diminue avec l’âge. Donc on pourrait conclure que si on trouve une manière de maintenir la capacité de l’autophagie en bon état plus longtemps, on garantirait une vie plus longue et une meilleure santé.

En ce moment précis, vous vous préoccupent peut-être le mécanisme de l’autophagie. L’Autophagie, appelée également « auto-cannibalisme », est activée quand les composants d’une cellule comme des différentes protéines, acides aminées et d’autres atteignent à l’intérieur de ses lysosomes ou des vacuoles. Et puis, ils sont soumis à la destruction, permettant ainsi à la cellule de générer l’énergie pour compenser le manque. En fait, l’autophagie joue un autre rôle phénoménal : elle empêche l’accumulation de protéines dans les neurones. C’est pourquoi on pourrait tirer la conclusion que l’autophagie joue un rôle considérable dans l’évitement de la maladie de Huntington et la maladie de Parkinson. De plus, la stimulation de l’autophagie pouvait améliorer la réponse immunitaire et anti-cancéreuse.

Il existe plusieurs types de l’autophagie. Premièrement, la micro-autophagie est simplement le captage des macromolécules et les débris de membranes cellulaires par le lysosome. L’objectif premier est la reconstitution de la réserve énergétique. Deuxièmement, la macro-autophagie est un phénomène où la zone de cytoplasme est enveloppée par deux membranes (phagophore), qui devient l’autophagosome, et puis ce l’autophagosome s’unit avec les lysosomes, procédant la digestion. Troisièmement, uniquement en cas des mammifères, la macro-autophagie est réalisée par des protéines chaperonnes par le stress.


Pendant ma recherche sur l’autophagie, j’ai eu conscience du fait que Yoshinori Ohsumi a consacré plus de quarante ans de son existence à ce projet. J’aimerais finir cet article par remerciant Ohsumi pour son dévouement, réalisant le formidable développement actuel.



KSJ

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